Le cri du poème – Guillevic

Reçu de Bruno C.

(11 nov 17)

Le soleil couchant

A parfois des couleurs

Qui nous font croire

Qu’il n’est qu’un astre mort

 

 

 

Rien de pareil

Pour le poème

Qui crie toujours :

Je vis, lisez-moi !

Et, sachez-le

Je ne mourrai pas

Je suis un espace dans le filet

Que tisse autour de nous la mort

Guillevic

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