Marguerite Yourcenar, à son amant, André Frémiaux Vous ne saurez jamais que votre âme voyage Comme au fond de mon cœur, un doux cœur adopté Et que rien, ni le temps, ni d’autres amours, ni l’âge N’empêcheront jamais que vous ayez été Que la beauté du monde a pris votre visage Vit de votre douceur Luit de votre clarté Et que le lac pensif au fond du paysage Me redit seulement votre sérénité Vous ne saurez jamais que j’emporte votre … Lire la suite de Vous ne saurez jamais …
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